BMCI : Une assise financière solide La banque a clôturé l’année 2010 sous le signe de la hausse. Les indicateurs d’activité n’ont pas manqué leur rendez- vous de fin d’année. Adossé à BNP Paribas, un groupe de renommée internationale, la banque a su maintenir son élan de croissance, et ce en plaçant le client au cœur de sa démarche et en menant une stratégie réussie de maîtrise des risques.
Avec un réseau d’agences étendu à 278, l’encours des dépôts de la clientèle a atteint, à fin 2010, 49,6 Mds de DH en augmentation de 4% par rapport à fin 2009, contre une légère amélioration des crédits de 2% à 52,6 Mds de DH.
De ce fait, la BMCI a affiché un PNB consolidé en croissance de 8% à 2,8 Mds de DH et un résultat net part du groupe en appréciation de 5,4% à 787,6 MDH. L’assise financière de la filiale française ne cesse de se renforcer. Les capitaux propres consolidés se sont bonifiés de 2,1% pour atteindre 7,3 Mds de DH. Il y a lieu de noter que Fitch Rating a confirmé les notations de F1+ (mar) et AAA (mar) de la banque représentant les meilleurs ratings au Maroc. ----------------------------------------------
Caisse de Dépôt et de Gestion : Une année sous de bons auspices Intervenant dans quatre grands métiers : gestion de l’épargne, prévoyance et retraite, développement territorial et banque-finance-assurance, la CDG a marqué l’année avec la réalisation de plusieurs projets. La cession de 20% de Méditélécom à France Télécom, le transfert à la CNRA de la Caisse interne de retraite de l’OCP, l’émission obligataire réussie de la CGI…ont concrétisé la dynamique du groupe qui a été traduite par des résultats pour le moins appréciables. En effet, le PNB consolidé du groupe a atteint, au terme de l’année écoulée, 5,2 Mds de DH, en hausse de 20% par rapport à fin 2009. Le résultat net part du groupe s’est inscrit en augmentation de 161% à 1,9 Md de DH sur la même base comparable. Il est à noter que le segment «banque et activité financière» a contribué fortement à la formation du RNpg avec 1,4 Md de DH. L’assise financière, toujours solide, a affiché une progression de 33% pour se fixer à 19,8 Mds de DH. --------------------------------------------
CIH : 2010, une année décisive L’année 2010 constitue pour le CIH une année de transition vers un nouveau modèle de développement. Dans ce sillage des projets structurants ont vu le jour, portant notamment sur la réorganisation de l’activité commerciale, le renforcement des filières et le suivi de gestion des risques. L’année 2010 s’est présentée également pour la banque comme une année décisive, un tournant dans son histoire. Elle a été marquée par le déploiement d’une stratégie de développement visant à faire du CIH une banque universelle exerçant tous les métiers avec une offre multiple de produits.
2010 a été aussi marquée par un effort d’assainissement. Dans le même ordre d’idées un effort de provisionnement a été consenti en matière de recouvrement des dossiers historiques en souffrance et au règlement du litige fiscal en suspens.
Pour l’activité dépôts à vue le CIH a fait mieux que le secteur bancaire. Les DAV ont augmenté de 12,9%, contre 2,9% pour le secteur. En revanche, les dépôts à terme ont reculé de 15,6% entre 2009 et 2010.
Malgré l’effort d’assainissement le résultat net est ressorti globalement à 144 MDH. ------------------------------------------
CNIA Saada : La croissance est au rendez-vous 2010 a été une année riche en évènements pour la compagnie d’assurance CNIA Saada. L’introduction en Bourse de la compagnie constitue un événement historique. Cette opération s’inscrit dans la continuité du processus de développement et de modernisation entrepris par la compagnie depuis son rachat par le groupe Saham. Cette année, le groupe a également pris le contrôle du groupe Colina, l’un des principaux et des plus dynamiques opérateurs d’assurance sur le marché de l’Afrique de l’Ouest.
Malgré une année 2010 difficile, marquée par une vive concurrence sur le marché de l’entreprise, la compagnie d’assurance CNIA Saada a clôturé l’exercice sur un résultat net en hausse de 7,7%.
Au terme de 2010, CNIA Saada a réalisé un chiffre d’affaires en hausse de 5,1% à 2,97 Mds de DH.
Confortée par des réalisations 2010 en ligne avec ses prévisions, CNIA Saada devrait continuer sa progression en termes de chiffre d’affaires et de résultat comme annoncé dans son plan triennal 2011-2013. -------------------------------------------
Eqdom : Un résultat net en hausse de 3,7% En dépit d’une année 2010 difficile aussi bien sur le plan national qu’international, Eqdom a pu conforter sa position de leader du crédit à la consommation. A noter que la société de financement a renforcé sa part de marché aussi bien dans son segment d’activité traditionnel, à savoir le crédit non affecté, que dans celui affecté, tel le financement de véhicules particuliers.
Côté chiffres : le produit net bancaire a affiché un taux d’évolution de 4% à 670,9 MDH à fin décembre 2010. Cette progression est la résultante d’une croissance significative de produits d’exploitation, conjuguée à une optimisation du coût de refinancement.
Le résultat net dégagé au terme de l’exercice s’est élevé à 243,3 MDH en hausse de 3,7% par rapport à 2009.
2010 a été une année riche en événements pour Eqdom tels la finalisation de nombreux projets informatiques et organisationnels, le lancement du 1er baromètre de l’automobile au Maroc en partenariat avec le cabinet Ipsos… et autres faits d’une grande importance pour l’activité de la société.
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Record d’investissements pour Lydec En 2010, Lydec a engagé plusieurs projets d’envergure tels que la station d’épuration de Médiouna ou le chantier Antipollution du littoral Est. Les investissements ont ainsi atteint un niveau record : 1,3 milliard de dirhams (en hausse de 42% par rapport à 2009). Le rythme des investissements a été accéléré afin d’accompagner la forte urbanisation de la Région du Grand Casablanca et de répondre aux enjeux de développement durable.
L’année a par ailleurs été riche en challenge pour l’entreprise qui fait face à un changement climatique de plus en plus marqué. Plusieurs évènements pluvieux de grande intensité ont en effet touché la ville, mettant en lumière de nouveaux besoins en terme d’infrastructure : «Le développement d’infrastructures répondant aux besoins de la ville et la recherche de nouveaux moyens de financement sont au cœur des enjeux de la Région du Grand Casablanca», déclare Jean-Pierre Ermenault, Directeur Général de Lydec.
Entre août 1997 et décembre 2010, Lydec a investi au total 9,9 milliards de dirhams dont 5,4 financés par l’entreprise. En ce qui concerne les résultats financiers 2010, le chiffre d’affaires de Lydec atteint 4,91 milliards de dirhams et le résultat net a été de 256 millions de dirhams, en progression de 16 % par rapport à 2009.
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Maroclear : 2010, l’année des grands chantiers L’automne 2010 ayant été retenu comme échéance finale pour le go-live, le chantier relatif à la nouvelle plate-forme a tout naturellement mobilisé l’essentiel des ressources du dépositaire central durant cette année. La conduite de ce chantier structurant, associant les intervenants de la place, comporte trois dimensions essentielles : le pilotage du projet, sa mise en œuvre et le suivi post bascule.
Ainsi, après une phase de production parallèle qui s’est enclenchée à compter de juin 2010, l’étape du « go-live » a été amorcée le 24 septembre de la même année. Aussitôt après le go-live, Maroclear a mis en place un dispositif standardisé de déclaration des incidents permettant d’en améliorer la prise en charge, le traitement et la traçabilité. A travers ce dispositif, les déclarants ont été tenus de fournir toutes les informations nécessaires à la reproduction puis à la résolution des incidents rencontrés. En contrepartie, le dépositaire central garantissait une meilleure visibilité au moyen de la fourniture systématique et quasi-instantanée d’accusés de réception, de la communication d’un délai indicatif de résolution et de la fourniture à tous, sur une base mensuelle, d’une situation consolidée récapitulant tous les incidents déclarés (leur origine, leur statut,…). Ce dispositif était appelé à être remplacé, dès la fin du 1er trimestre 2011, par une interface dédiée que les affiliés peuvent consulter et alimenter à distance. Par ailleurs, depuis juin 2010, MAROCLEAR dispose d’un référentiel structuré des risques auxquels il est exposé, dispositif qu’il lui appartiendra de mettre à jour à intervalles réguliers.
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RMA WATANYA : un positionnement renforcé Dans un contexte de croissance modérée du secteur de l’assurance : 4,5%, RMA WATANYA a conforté ses réalisations tout en entamant le déploiement des chantiers inscrits dans le plan stratégique IZDIHAR 2010-2014.
Sur les deux volets : performances commerciales et projets structurants, les réalisations de la compagnie sont nombreuses. En atteste la progression du C.A. de 5,45% à 4.448 Mdhs en hausse de 5,54% par rapport à 2009, une part de marché confortée à plus de 21% et un résultat net de 1.027 Mdhs. Aussi, le total bilan de plus de 34.041 Mdhs prouve la stabilité de son assise financière et renforce son positionnement tant à l’échelle nationale que régionale.
En attestent également la concrétisation de nombreux projets centrés sur une collaboration de proximité et un support permanent à nos partenaires agents, courtiers et banquiers nous permettant de conforter nos positions sur nos différentes lignes et métiers tant pour les particuliers que pour les entreprises.
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Salafin : un résultat stable malgré la montée du risque Dans un contexte marqué par un ralentissement de Sa production, Salafin a réalisé un résultat net de 100 MDH au même niveau qu’en 2009.
En 2010, Salafin a développé les synergies avec sa maison mère BMCE Bank à travers la mise en place d’un portail Intranet pour la gestion du back-office de tous les crédits à la consommation de la banque ainsi qu’une plate-forme de contrôle de conformité.
Aussi, la société a étoffé son offre auto en lançant le produit Murabaha Auto, formule de financement islamique dédiée à l’automobile, en plus du lancement d’un crédit personnel destiné aux retraités du secteur privé. En termes de chiffres, Salafin a vu son PNB (produit net bancaire) progressé de 7% malgré une baisse volontaire de son niveau de production (-16%).
Son total bilan est demeuré stable (+1%) et son taux de rentabilité (ROE) s’est établit à 17%.
A fin 2010, la performance de l’action Salafin s’est établie à 20% en ligne avec les performances du marché (21)%.
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Wafa Assurance : Un résultat net en hausse de 7,9% 
2010 a été pour Wafa Assurance une année riche en projets et en nouveautés. Elle confirme la continuité des orientations stratégiques fixées par la compagnie pour le cycle triennal 2009-2012. Globalement, 2010 a été une année positive pour la filiale assurance d’Attijariwafa bank qui a pu maintenir son leadership dans un domaine très concurrentiel.
Leader du secteur des assurances au Maroc, WA développe son modèle de bancassurance et met en oeuvre des systèmes de gestion et d’information performants et novateurs, pour traiter des volumes considérables de données tout en apportant à chacun un service personnalisé. La compagnie dispose d’un large réseau de distribution composé d’agents généraux, de courtiers et de réseaux partenaires.
En termes de chiffres, les primes émises par la compagnie ont atteint 4.499 MDH soit une hausse de 4,7% par rapport à 2009. Le résultat net est de l’ordre de 724 MDH en hausse de 7,9% par rapport à 2009. La part de marché a été de 20,6% à fin 2010.
La solidité financière de la compagnie s’est ainsi renforcée grâce aux bonnes performances réalisées en termes de croissance et de chiffre d’affaires.
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