Un Trésor qui arrose le marché, des dons du Qatar, des rentrées de devises dues à plusieurs sorties à l’international d’organismes aussi bien publics que privés, en plus de l’Etat. Tout est réuni pour une meilleure liquidité du marché monétaire. C’est d’ailleurs le cas, à en croire les dernières données de BAM qui explique que la situation aurait pu être encore meilleure sans l’avalanche de retraits de monnaie fiduciaire de la part des Marocains dus à la période estivale.