Ce Dimanche 15 septembre, s’est déroulée, dans la capitale égyptienne, la 43e édition des sessions ordinaire du Conseil des gouverneurs des banques centrales arabes.
A l’ordre du jour de cette importante rencontre panarabe : les derniers développements monétaires, financiers et économiques au niveau régional et international et leurs répercussions sur les pays arabes, la gouvernance des banques centrales et les commissions numériques des banques centrales.
Les gouverneurs ont également pris note des conclusions du rapport sur la stabilité financière dans les pays arabes et du rapport économique arabe unifié pour l’année 2019. Par ailleurs, le Conseil a discuté des dernières nouveautés concernant la gouvernance des banques centrales.
Les membres présents ont, en outre, passé en revue les actions et les recommandations des comités techniques découlant du Conseil des Gouverneurs, relatives notamment à la supervision bancaire, à l’inclusion financière, à la stabilité financière, aux systèmes de paiement et de règlement, aux «credit bureau» et aux Fintech.
En plus de la participation d’Abdellatif Jouahri, Wali de Bank Al-Maghrib et des représentants des banques centrales et institutions monétaires arabes, cette session connu la participation du secrétariat général du Conseil de Coopération du Golfe (CCG), l’Union des banques arabes, l’Union Arabes des Régulateurs de valeurs mobilières (UASA), le Groupe d’Action Financière du Moyen-Orient et de l’Afrique du nord, ainsi que les directeurs exécutifs arabes auprès du Fonds monétaires international (FMI) et la Banque mondiales. La Ligue arabe était également présente en tant qu'observateur.
A rappeler, que l’année précédente à Amman, le conseil s’était penché sur le secteur bancaire, à savoir les systèmes de paiement et les crédits accordés, ainsi que l’impact de la révolution numérique dans ce domaine.
Par C. A