■ A quelques semaines des élections législatives, l’analyse de la réforme de la Caisse de compensation du ministre istiqlalien, Nizar Baraka, reste sujette à caution.
■ Il soutient que les charges de la compensation ne dégradent pas le déficit budgétaire.
■ Les charges de compensation représenteraient 5,5% du PIB à fin 2011.