Le paradoxe du gaz réside dans le fait que, bien que la région dispose de 40% des réserves mondiales en gaz naturel, presque tous les pays souffrent du problème d’approvisionnement pour satisfaire la consommation locale.
Mounir Bouaziz, vice-Président de Shell international Moyen-Orient & Afrique du Nord, estime que le Maroc est en retard quant à l’introduction du GNL, mais peut toujours se rattraper.