L’exercice du pouvoir des islamistes dans certains pays arabes s’est soldé par un fiasco économique majeur.
Ils semblent avoir été élus par sympathie du fait de leur mise à l’écart systématique par les régimes précédents et leur force d’opposition.
Le principe de solidarité et d’assistanat qui a marché pour ces formations en tant que partis est difficilement réalisable sur les Etats.