Le travail des petites bonnes continue à sévir. Malgré les actions de quelques ONG et des mesures des autorités, le phénomène ne semble pas vouloir prendre fin. Il est clair que la lutte contre l’exploitation de ces enfants passe nécessairement par un travail d’ensemble qui commence par la lutte contre la pauvreté, surtout dans les régions défavorisées ou enclavées.
Le gouvernement doit renforcer les mesures dissuasives et répressives pour que ces enfants prennent le chemin de l’école.