Le mois de mai, qui coïncide avec les moissons, a connu des niveaux de chaleur et de pluviométrie dépassant la normale, avec des effets dommageables sur les cultures.
La faiblesse de la mécanisation et des moyens de stockage impactent également les récoltes qui peuvent être revues légèrement à la baisse.
La facture des produits de base du Maroc sera toujours lourde, le marché des céréales subissant une forte volatilité alimentée par la sécheresse qui sévit dans des pays exportateurs.