Des prévisions montrent qu’en 2040, l’Afrique devrait détenir la main-d’oeuvre la plus abondante au monde, devançant ainsi la Chine et l’Inde. Cette richesse pourrait faire la différence, pourvu que le capital humain africain soit assez valorisé pour s’adapter à l’évolution de l’économie du savoir et au marché du travail, tout en portant la transformation du continent, indispensable au développement.