Les finances publiques du Maroc sont en dégradation continue. Après la baisse enregistrée au niveau des recettes fiscales de l’Etat à fin juillet 2013, avec une régression de 2,4% et qui a touché les impôts directs avec une baisse de 3,1%, les impôts indirects à 1,5% et les droits de dou
Le partenariat public-privé s’est érigé aujourd’hui comme un mode de structuration par excellence des projets d’infrastructures. D’aucuns estiment qu’il est même devenu un paramètre contextuel clé dans la mutation des finances publiques en proie à des problèmes structurels. Qu’e
A fin mai 2013, comparativement à la même période de 2012, l’exécution de la Loi de Finances laisse apparaître une hausse de 8,9% des dépenses ordinaires, combinée à une chute de 0,8% des recettes ordinaires. Ces deux facteurs ont, à l’évidence, accentué le déficit du Trésor.
L'exécution budgétaire au terme des cinq premiers mois de l’année a fait ressortir un déficit de 26 milliards de dirhams, contre 19,3 milliards une année auparavant. Cette aggravation reflète, selon BAM, l’effet conjugué d’une hausse de 3,2% des dépenses globales, en dépit de l’all
Les finances publiques sont dans une mauvaise posture : le déficit public se creuse, alors que les recettes fiscales régressent. Les engagements de l’Etat restent très importants, surtout ceux liés aux charges de fonctionnement. Malgré la réduction du budget dédié à l’investissement, l
Les finances publiques continuent de clignoter rouge. La dernière évaluation de Moodys est sans équivoque. L’agence de rating a abaissé la perspective de la note souveraine du Maroc, passant de «stable» à «négative», en raison notamment de l'augmentation du déficit public du pays. Ains
Au terme des 9 premiers mois de l’année, la situation des finances publiques a révélé une augmentation des recettes ordinaires de 3,9%.
Le contrôle budgétaire procède d’une approche plus juridique et analytique que d’une vision systémique et systématique. Il faut éviter tout risque de redondance, de superposition ou de duplication et asseoir des contrôles convergents et complémentaires.
Le gouvernement est attendu sur le projet de Loi de Finances 2013 qui montrera clairement son approche. La rentrée scolaire et la campagne agricole sont aussi les dossiers les plus urgents. Malgré les assurances de l’exécutif, les indicateurs macroéconomiques inquiètent.
■ Face à des charges de plus en plus croissantes, l’Etat est contraint d’améliorer ses ressources, notamment fiscales, afin de répondre à ses engagements. ■ Cela passe par un élargissement de l’assiette, des restrictions sur les dérogations et la traque des niches fiscales.